Título: | EIDOS COMO ESTRUCTURA |
Autores: | Durán López, María de los Ángeles |
Tipo de documento: | texto impreso |
Editorial: | Ediciones de la Universidad de Murcia (Editum), 1998-12-01 |
Dimensiones: | application/pdf |
Nota general: |
Myrtia; Vol. 13 (1998); 53-88 Myrtia; Vol. 13 (1998); 53-88 Myrtia; Vol. 13 (1998); 53-88 Myrtia; V. 13 (1998); 53-88 1989-4619 0213-7674 |
Idiomas: | Español |
Palabras clave: | Artículos |
Resumen: |
L' hypothèse de voir dans l' eidos platonicien le principe d' organisation interne qui fait la structure des choses est issue du commentaire de Plutarque dans le De an. proc. 1013 C et de la construction du Monde que le Timée raconte par le truchement d' une production artisanale qui, à son tour, nous permet d' étudier la manifestation de l' eidos dans le monde empirique. La description du Timée ne reève plus de l' analogie technique chère à Socrate, mais plutôt de l' usage qu' en fait Platon dans les dialogues de maturité, où elle essentiellement employée dans le but d' exposer la doctrine ontologique de κόσμος - τάξις. Cette doctrine, qui décrit l' eidos comme le principe structural cité, tient lieu de l' explication de la nature des Idées que Platon n' a jamais fournie autrement. Il est, néamoins, évident que la notion de structure ne sied pas aux Idées correspondant à termes relatifs, notamment aux Idées de grandeur et de petitesse ou encore à celle d' égalité et d' inégalité. Compte tenu que la vraie difficulté que pose leur caractère relatif est la possibilité mème de les concevoir "en soi", il faudra les pousser à l' absolu pour que ces Idées puissent réellement être conçues. Afrranchie de sa relativité, la grandeur devient la limite du Philèbe ; exemptes de relativité, l' égalité et l' inégalité deviennent l' identié et l' altérité qui, promues au rang des μέγιστα εἴδη dans le Sophiste , vont permettre la participation des Idées entre elles et imposer anse le silence aux objections de la deuxième partie du Parménide. L' hypothèse de voir dans l' eidos platonicien le principe d' organisation interne qui fait la structure des choses est issue du commentaire de Plutarque dans le De an. proc. 1013 C et de la construction du Monde que le Timée raconte par le truchement d' une production artisanale qui, à son tour, nous permet d' étudier la manifestation de l' eidos dans le monde empirique. La description du Timée ne reève plus de l' analogie technique chère à Socrate, mais plutôt de l' usage qu' en fait Platon dans les dialogues de maturité, où elle essentiellement employée dans le but d' exposer la doctrine ontologique de κόσμος - τάξις. Cette doctrine, qui décrit l' eidos comme le principe structural cité, tient lieu de l' explication de la nature des Idées que Platon n' a jamais fournie autrement. Il est, néamoins, évident que la notion de structure ne sied pas aux Idées correspondant à termes relatifs, notamment aux Idées de grandeur et de petitesse ou encore à celle d' égalité et d' inégalité. Compte tenu que la vraie difficulté que pose leur caractère relatif est la possibilité mème de les concevoir "en soi", il faudra les pousser à l' absolu pour que ces Idées puissent réellement être conçues. Afrranchie de sa relativité, la grandeur devient la limite du Philèbe ; exemptes de relativité, l' égalité et l' inégalité deviennent l' identié et l' altérité qui, promues au rang des μέγιστα εἴδη dans le Sophiste , vont permettre la participation des Idées entre elles et imposer anse le silence aux objections de la deuxième partie du Parménide. |
En línea: | https://revistas.um.es/myrtia/article/view/38261 |
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